Karl Lagerfeld est le fils d'Otto Lagerfeld, industriel hambourgeois d'origine suédoise, importateur de lait en conserve de la marque Carnation, puis co-fondateur du fabricant allemand du lait concentré Glücksklee-Milch , et de son épouse d'origine prussienne, Elisabeth Bahlmann, fille de l'homme politique catholique westphalien Heinrich Maria Karl  Bahlmann. Leur fils aime à raconter que son père était un baron suédois et que sa mère pilotait des avions.
Il parle couramment l'allemand, le français et l'anglais. En 1934, Otto et Elisabeth Lagerfeld achètent un domaine près de Bad Bramstedt dans le Schleswig Holstein. Le domaine de Bissenmoor fait alors plus de 500 hectares. La famille y réside jusqu'en 1939, puis fait plusieurs allers-retours entre leur demeure de Blankenese, dans un quartier huppé de Hambourg, et le domaine de Bissenmoor, où elle se fixe lorsque Hambourg est en grande partie détruite par les bombardements stratégiques des Alliés lors de l'opération Gomorrhe en 1943.

Julien Clerc est le fruit de l’union d’une jeune fille à moitié guadeloupéenne et  d’un métropolitain ce qui donne un homme sur qui le temps n’a pas de prise et surtout un homme plein de talent.

Les Leclerc en France: 30 600 personnes portent le nom Leclerc aujourd'hui en France. Le nom Leclerc figure au 89ème  rang des noms les plus portés en France.
Origine du nom Leclerc: Ces deux formes qui viennent de la moitié nord de la France renvoient au nom clerc, qui désigne au départ un membre du clergé par opposition au laïc, mais qui au moyen âge avait aussi celui de lettré. Les noms Leclair et Leclère en sont certainement des variantes.
 
Les Leclerc sont originaires de Givonne, petit village situé à  la frontière Belge. Givonne faisait partie de l‘ancienne principauté de Sedan. Les reliques du laminoir de  Givonne, le plus ancien de France, sont gardées au musée du château fort de Sedan.

Présentateur de nombreuses émissions de divertissement sur les chaînes publiques et privées, il est l'un des animateurs les plus populaires du paysage audiovisuel français. Il est connu pour les émissions Que le meilleur gagne, Taratata, N'oubliez pas votre brosse à dents, Téléthon, Tout le monde veut prendre sa place et N'oubliez pas les paroles ! sur France 2.

Régulièrement élu animateur préféré des Français depuis 2009, la carrière de Monsieur Jeux du PAF a connu une traversée du désert au début des années 2000 avant un retour en grâce. Né à Alexandrie le 14 novembre 1961, Nagui Fam est le fils d’un professeur de littérature française, égyptien, et d’une franco-italienne, professeur de français. Il n’a que trois ans lorsque sa famille quitte l’Egypte pour s’installer en France.
Ses parents et lui déménagent ensuite à Ottawa au Canada. En 1968, le jeune Nagui revient avec ses parents en France et la famille emménage à Cannes.
Après son cycle secondaire à l’Institut Stanislas, Nagui élève hyperactif, obtient son Bac C avec mention. Il intègre alors la faculté des Sciences de Nice, avant d’intégrer les classes préparatoires des écoles de commerce. Démotivé, il finit par abandonner et décide de se tourner vers l’une de ses passions : la musique. Il se lance dans le divertissement et organise des boums et des parties entre copains.

Philippe Gildas
Un homme de télévision

Par Luc Antonini

 


Les Leprêtre en France

6 229 personnes portent le nom Lepretre aujourd'hui en France selon les estimations de L'Internaute. Le nom Lepretre figure au 813ème rang des noms les plus portés en France.

Origine du nom Leprêtre

Lepretre, Leprêtre : nom surtout rencontré dans le Nord-Pas-de-Calais. Un sobriquet que l'on peut interpréter de multiples façons : le fils du prêtre, celui qui est au service d'un prêtre, celui qui a des allures de prêtre. Variantes : Leprettre, Leprestre, Leprette, Leprete.


Biographie
Le plus ancien ancêtre de Philippe Gildas est François Le Prestre père de Pierre Leprêtre, (Leprestre) marié à Vitré à Étiennette Isop. Vitré est une ville florissante du Duché de Bretagne. Elle a continué son extension dans la ville close et dans ses faubourgs. Son apogée se situe au XVIème siècle lorsque les confréries des Marchands d’Outre-Mer vendirent leurs toiles de chanvre et leurs canevas dans toute l’Europe. Durant les guerres de religion à la fin du XVIe siècle, la ville protestante fut assiégée durant 5 mois par les troupes de la Ligue sous le commandement de Philippe-Emmanuel de Lorraine, duc de Mercœur, gouverneur de Bretagne. Les réunions des États de Bretagne eurent lieu à Vitré en 1655, 1671, 1697 et 1705 lorsque Rennes était ravagé par la peste ou insurgé.
C’est au cours du XVIIe siècle que les barons désertent la cité pour préférer la cour de Versailles. La ville perd sa notoriété et devient un peu endormie dans ses remparts au centre d’une campagne active. Elle coupe les liens avec la campagne environnante qui lui fournit le chanvre et le lin. Cela engendre le début du déclin de Vitré aussi bien au niveau économique qu'urbanistique. Faubourg du Rachapt et château de Vitré au fond. Cette situation s’accentue surtout au XVIIIe siècle. Cette situation dure tout le XVIIIe siècle et jusqu’à l’arrivée du chemin de fer au milieu du XIXe siècle.

Entré à la Comédie-Française en 1948 ; sociétaire en 1952 ; retraité en 1973 ; sociétaire honoraire en 1974. Immense comédien, Robert Hirsch s’est d’abord fait connaître à la Comédie-Française dans le registre comique (Molière, Marivaux, Feydeau) comme un virtuose d’un jeu engagé et corporel, avant d’aborder la tragédie (inoubliable interprétation de Néron dans Britannicus et de Richard III).

Origine : "hirsch" est un nom de famille alsacien- lorrain, aussi nom d'israélite, signifie cerf, désigne le propriètaire de la maison à l'enseigne d'un cerf .

Né dans une famille juive, le jeune Robert se passionne d'abord pour le cinéma pendant les années 1930, grâce à son père qui possède une salle de cinéma, l'Apollo. Il a alors pour idole Bette Davis (née le 5 avril 1908 à Lowell, Massachusetts morte le 6 octobre 1989 à Neuilly-sur-Seine),  au point de déclarer plus tard qu'il a appris le métier de comédien en la regardant. Pendant la guerre, Robert Hirsch commence une carrière de danseur. Puis, alors qu'il devait intégrer l'opéra de Paris en tant que quadrille, il y renonce car le chorégraphe Serge Lifar, qu'il admirait, n'y donne alors plus de cours. Sur le conseil de ses amis, il opte alors pour le théâtre, et entre au Conservatoire national d'art dramatique.